[RP] Un monde en flammes

Règles :

Ce jeu est un RP, autrement dit, vous incarnez un personnage, de préférence avec un pouvoir au sein de son pays pas trop important. Dans cette limite-là, vous pouvez lui donner le sexe, l'âge, la nationalité, le métier, les fonctions, etc, que vous désirez. Evidemment vus présenterez également dans sa fiche une petite biographie des familles ainsi qu'une description physique et psychologique.

Une fois que j'aurai validé vos présentations sur le forum, vous posterez une introduction, qui sera en gros votre premier post rp, correspondant au tour n°0. Chaque joueur aura droit à un post par tour, d'au moins 10 lignes (plus c'est long et rp mieux c'est   ), où vous raconterez les péripéties de votre personnages, à la 1re ou la 3e personne, comme vous voulez.

Il y a un ordre de participation par tour, selon la date d'inscription au jeu, ordre que je présenterai clairement dans un post au lancement du jeu.

Chaque tour dure par défaut deux semaines, bien qu'il est possible que le rythme soit modifié par la suite. A chaque début de tour, je présenterai l'évolution de la situation mondiale et des guerres, ainsi que l'évolution de chacun de vos personnages.




Europe :

Empire catholique:

Union soviétique:

Royaume-Uni:

Empire byzantin:

Scandinavie:

Moyen-Orient :

Grande-Arabie:

Perse:

Royaume de Jérusalem:

Asie :

Chine:

Empire moghol:

Japon:

Touranie:

Raj britannique:

Corée:

Tibet:

Siam:

Indochine:

Amérique du Nord :

Nouvelle-Britannia:

Etats-Confédérés:

Mexique nationaliste:

Mexique communiste:

Confédération des Plaines:

Etats-Unis du Pacifique:

Grande-Californie:

Amérique centrale:

Cuba:

Amérique du Sud :

Brésil:

Argentine:

Pérou:

Colombie:

Afrique :

Congo:

Ethiopie:

Nigéria:

Royaume zoulou:

Mozambique:

Afrique du Sud:

Afrique de l'Est:

Somalie:

Rhodésie:

Guinée:

Gabou:

Océanie :

Australie:

Nouvelle-Zélande:

Nouvelle-Guinée:

Philippines:

Java:

Bornéo:

Sumatra:

Sulawesi:

Nom: Antonio Ramirez

Âgé :32 ans

Profession :Général de Brigade

Religion : athé

Histoire :Né en 2009 à Acapulco au Mexique d'une mère au foyer et d'un père capitaine de l'armée de terre mexicaine .Durant les premières années ,il vit avec ses parents et est leur enfant unique  .Il côtoie les soldats et la caserne et veut devenir militaire .Cependant ,un événement majeur bouleversa sa vie .Dans le début des années 20 ,une révolte communiste (qui prendra le pouvoir)éclata en Colombie .Le père d'Antonio ,catholique convaincu ,ira en Colombie combattre le communisme .Il mourut là-bas.Sa femme se suicida suite au chagrin. Et antonio continua sa vie dans l'orphelinat .À 16 ans ,il quitta l'orphelinat pour s'engager dans l'armée en utilisant d'anciens compagnons de son père .Pendant 15 ans ,il gravit les échelons jusqu'à atteindre le grade de colonel .
Puis arriva la guerre civile mexicaine ,il se bâti une force d'élite ,"la manada"  (la meute ) et il gagna un grand prestige .Il remporta la bataille de Zamora .Il a défendu la ville face à des ennemies deux fois plus nombreux .Suite à cette bataille ,il fut nommer général de brigade .Son prestige fut énorme et il symbolise l'espoir .Il est apprécié par ses soldats et par ses généraux .Attention ses généraux l'apprécient car il n'a aucune ambition politique et pour les soldats ,c'est grâce à ses victoires .À l'heure ,il dirige le front de Zamora et se prepare à changer le cours de cette guerre.


Physique :1m85 ,cheveux bruns ,yeux bleus ,porte la barbe et une moustache ,musclé

Caractère :C'est une personne très intelligent ,il est roublard et rusé .Son but dans la vie n'est pas la victoire des nationalistes mais juste gagner de l'argent et continuer à faire la guerre. D'apparence gentil et humble ,il aime se servir des autres pour arriver à ses fins et n'a aucun sens de l'honneur .Il a fait de la guerre sa raison de vie .Il a une haine énorme envers les communistes depuis qu'ils ont tué son père. Il garde un profond sang froid .

-Nom: RAMIREZ

-Prénom: Adolfo

-Profession: Militaire, général de brigade dans l’armée de terre

- ge: 36 ans, né le 1er avril 2004

-Orientation politique: Proche du fascisme

-Physique: Moustachu, cheveux noirs, yeux verts, taille moyenne (environ 1m75)

-Psychologie: selon le RP que je ferais (étant donné que je suis très difficilement une ligne donnée, je préfère me la donner au fur et à mesure de la progression de mon personnage, ça lui donnera de la consistance)

Signe particulier: Porte souvent un trenchcoat en cuir par dessus son uniforme, adore le schnaps.

Biographie: Né le Premier avril 2004 à Buenos Aires, Adolfo Ramirez, fils unique de José Maria Ramirez et de Mercedes Carolina Pabla Ramon fut élevé dans un milieu assez aisé de la capitale argentine. Très tôt, celui-ci s'intéressa fortement au milieu militaire et fut intégré à ses 15 ans dans un lycée militaire argentin. Il y mènera une scolarité exemplaire et intégra l’académie militaire de Buenos Aires en 2022. Au sein de cet établissement, il se créera un petit cercle d’amis composé de 3 personnes: Hans Schickelgruber, un argentin-allemand qui intégra l’armée de terre en compagnie d’Adolfo après leurs études, Antonio Garcia y Pabla, qui rejoignit la marine et Mario Iglesias, qui fut intégré dans l’armée de l’air. Ainsi, après trois années d’études qui se terminèrent en 2025, notre quatuor de futurs généraux et amiraux partirent, diplôme en poche dans leurs affectations respectives. Ramirez fut affecté en tant que capitaine dans le 337e régiment d’infanterie motorisée stationné à la frontière Argentino-brésilienne en Uruguay.

Lui qui voulait de l’action, il fut rapidement servi. En effet , le 20 aout 2026, soit un an après sa promotion, la “petite guerre de l'Uruguay”, comme on la surnomme eut lieu. Non déclarée par les deux états, elle dura 3 mois et fit environ quelques milliers de morts, civils et militaires dans les deux camps. le capitaine Ramirez s’y illustra plusieurs fois notamment en prenant avec son régiment une position lourdement défendue par les forces brésiliennes, le tout avec des pertes minimes, puis en arrivant à la défendre farouchement face aux assauts répétés des brésiliens. Il en ressortit avec le grade de commandant.

Après cela, il continua sa carrière militaire. Aujourd’hui, il est général de brigade et commandant du district militaire de Montevideo avec sa 13e brigade d’infanterie.

Nom: Dai
Prénom: Kaï-Shek
Profession: haut fonctionnaire, inspecteur général de l'administration de la province du Jiangsu
Âge: 32 ans, né le 11 septembre 2008
Opinions politiques: nationaliste chinois, fascisant, partisant d'une occidentalisation de l'empire du milieu pour lui redonner sa grandeur. Il est est membre du kuomintang au sein duquel il anime une société secrète ultra minoritaire, peu influente pour le moment (sur laquelle il peut s'appuyer) " Renouveau et modernisation" (abrégé RM et surnomé les chemises bleus en référence au groupuscule animé par son ancêtre Dai Li)
Physique et aspect: fin et grand (1 m 85), il pratique la mma depuis 7 ans et possède un corps sculpté par ses reflexes identiques à sa vitesse. Sans rigoler il peut battre un panda au minimum avec un couteau, à mains nues c'est pas forcément plus compliqué ça demande juste de la technique. Il a des yeux et des cheveux noirs cours (style années 30). Il revêt des costumes sur mesure élégants et sobres.
Sa psychologie/caractère : c'est un opportuniste, prêt a tout même a s'allier temporairement à ses ennemis pour arriver à ses fins. C'est un homme intelligent, cultivé,cynique, seducteur, occidentalisé, excellent orateur. C'est un produit de la méritocratie chose rare en Chine, et est animé par un patriotisme sans borne ainsi que par une détestation des élites corrompues.
Biographie:
Dai Kaï-shek est né le 11 septembre 2008 dans une famille modeste à nankin. Son père est un simple employé de banque étonnamment peu chanceux. Il vit dans le culte voué a son ancêtre Dai li héros de la révolution contre les qing corrompus, animateur des chemises bleus un petit groupuscule fasciste, assassiné par ses rivaux ce qui conduisit sa famille dans une relative pauvreté. Cette mort le marque et il voue une haine sans précédente aux élites qui detruisent le pays et le laisse se faire demembrer. Son prénom kaï shek lui est donné en référence a l'illustre compagnon de lutte de son grand père : tchang kai shek fondateur du kuomintang. Excellent elève il parvient malgré son origine modeste à se faire remarquer et à obtenir des bourses. Hésitant entre l'armée et l'université il choisit cette dernière. Il réussit les concours de la haute fonction publique principalement grâce a son travail acharné (et aussi un peu grâce son nom connu des gens s'intéressant à la politique). Il exerce le rôle de inspecteur général de ll'administration dans la province du jiangsu. Il s'acharne à reduire la corruption des autres tout en tissant sa toile et en constituant un carnet d'adresse. La province de jiangsu joue un rôle primordial du fait de la presence de nankin un dez principaux centres politiques chinois et de sa proximité avec shangai et les concessions. Il a fondé sa société secrète au sein du kuomintang et entend bien joué un rôle influent au sein du parti. Dans les milieux dirigeants on le perçoit comme un homme prometteur et son nom est souvent cité lorsqu'on se demande qui sera le prochain gouverneur du jiangsu.

Le 9 mai 2041, un accident frontalier particulièrement grave survient sur entre la Corée et l'URSS : un bataillon d'infanterie coréen commandé par un officier du nom de Kwon Chun-Ho traverse le fleuve Yalou, à un endroit non gardé, et s'empare de la station de Yulin, en territoire mandchou, à une dizaine de kilomètres de la frontière. Des bataillons sibériens viennent rapidement déloger ces intrus. Une partie du bataillon coréen parvient à s'échapper et à retraverser la frontières, mais on compte près d'une centaine de morts et au moins 200 prisonniers. Les pertes soviétiques sont estimées très légères, les troupes spéciales sibériennes étant réputées pour leur légèreté et leur excellent entraînement. Une petite purge au sein du District militaire d'Extrême-orient suit toutefois cet incident, le KGB considérant que la quasi-absence de troupes soviétiques entre la frontière et Yulin ne peut qu'être l'oeuvre de traîtres et d'espions à la solde de la Corée.

Une rapide enquête montre que le commandant Kwon Chun-Ho fait partie de la société secrète "Grande Corée", anticommuniste et revendiquant la création d'un Empire coréen englobant la Mandchourie. Le commandant est mis aux arrêts par les autorités coréennes, tandis que le général à la tête de la division dont faisait partie Chun-Ho est limogé. Le gouvernement coréen présente également des excuses officielles à l'URSS, et propose de lui verser quelques réparations financières. Cependant, le gouvernement soviétique n'est pas satisfait, et exige de lui livrer Kwon Chun-Ho, de démanteler la société Grande Corée, de laisser des experts soviétiques faire une enquête en territoire coréen pour découvrir tous les coupables dans cette affaire, et de céder l'accès militaires ainsi que des bases dans l'enclave de Dalian. Le gouvernement coréen ne peut accepter ces exigences, mais en réaction à ce refus, l'URSS ne fait que les durcir ses demandes, et exige bientôt rien de moins que l'annexion de Dalian, sous prétexte que cette région « n'a rien de coréenne, et doit rejoindre ses frères mandchous au sein de l'Union soviétique ». La Corée est rapidement soutenue par la Chine, dont les dirigeants membres du Kuomintang, premier parti chinois, comptent bien empêcher l'URSS de s'étendre, voire reprendre ses territoires volés au siècle dernier ...

Pendant ce temps, le célèbre militant anticommuniste et défenseur des droits de l'Homme Kim Jong-Un s'insurge contre ce qu'il juge être « une agression soviétique », mais appelle toutefois les gouvernements impliqués à trouver un arrangement, considérant que l'éclatement d'une guerre serait « un désastre, et ne pourrait que nuire au respect des droits de l'Homme à travers le monde. »




Tandis que les nuages s'assombrissent en Extrême-Orient, la guerre continue au Mexique. Le 13 mai,  les troupes communistes prennent brusquement l'offensive au nord du Mexique, éventrant les lignes nationalistes et perçant en direction de Monterrey. Les loyalistes tentent rapidement de contre-attaquer, mais il apparaît rapidement que les ennemis sur le terrain ne sont pas tous des frères ennemis mexicains : à la pointe de l'offensive communiste, ne se trouve rien d'autre qu'une division blindée de volontaires russes, bien équipées avec notamment les redoutables T-134. Ils sont commandés par le général Sergueï Yelchoukov, un ex-commissaire politique, qui d'après les dires ne fait preuve d'aucune pitié envers les contre-révolutionnaires.



Au même moment, les troupes mexicaines communistes lancent une autre attaque, de moindre ampleur, plus au sud. Faisant partie de cette offensive, la 9e division de fusiliers mexicains, entraînée en URSS, prend d'assaut la petite ville de Zamora, défendue principalement par une brigade d'infanterie nationaliste sous le commandement d'un certain Antonio Ramirez ...



Dans la deuxième moitié de mai commence au Brésil une vague de manifestations de gauche. De multiples grèves ouvrières ont lieu, de nombreuses grèves facs sont bloqués par des étudiants gauchiasses. Le parti communiste brésilien, dirigé par Ramos de la Vegada, appelle à la radicalisation du mouvement et à la Révolution. Le gouvernement impérial n'a pas encore donné de réaction claire, la police se contente pour l'instant de contenir le mouvement. Cependant, des violences commencent déjà à éclater entre les forces de l'ordre et des manifestants un peu trop furax ...



Une touriste américaine en visite au Congo est prise en embuscade par de jeunes racailles congolaises dans un quartier sombre de Kinshasa. D'après l'enquête entreprise par la police congolaise, la femme aurait violée par une quinzaine d'individus. La majorité des suspects ont été arrêtés et seront prochainement jugés, la victime a été prise en charge par les autorités et sera rapatriée rapidement aux Etats-Confédérés. L’événement fait la Une là-bas, et provoque une vague de violence contre les quelques centaines de milliers d'afro-américains encore présents, dans des ghettos. Près d'une centaine de morts est dénombrée en quelques jours, des noirs lynchés principalement par des membres du Ku Klux Klan. Les ghettos noirs mettent en place une véritable défense organisée contre les incursions du KKK, tandis que le gouvernement tente de calmer les ardeurs de celui-ci mais la popularité des suprémacistes blancs et des fascistes ne fait que croître aux CSA. D'autant que les élections présidentielles se rapprochent ...